De l’Auvergne   à   la Gironde, la Dordogne a connu, depuis l’Antiquité, une activité   marchande, celle de la grande marine d’eau douce.
  De   nombreux   documents et   photographies, souvent inédits, retracent la vie de ce   fleuve,   voie de communication   privilégiée entre le haut pays et Bordeaux, métropole commandant   la navigation maritime On a peine à imaginer aujourd’hui le rôle économique et culturel   qu’a joué dans cette   vallée la batellerie jusqu’au début   du   XXe   siècle.  
  Gabariers   et   bateliers sur courpet, coureau, gabare et même bateau   à   vapeur ont transporté   les bois   de   flottage du Massif central, depuis   Spontour et Argentat, les canons venus des   forges du Périgord, les papiers filigranés aux armes d’Amsterdam fabriqués par les moulins   de la Couze, les   vins   de Bergerac, de Sainte-Foy et de Libourne, sans oublier le sel et les   épices   qui   remontaient   par les chemins de halage jusqu’à Souillac depuis Castillon, Port-Sainte-Foy et Le Fleix, en utilisant le canal de Lalinde.  L’auteur, Jacques Reix,   a  écrit plusieurs ouvrages sur l’histoire du pays foyen et sur la vallée   de la Dordogne. Il   est   le fondateur et le conservateur du musée des bateliers de la Dordogne   à Port-Sainte-Foy.
Gabariers et bateliers de la Dordogne
23,00 €
De l’Auvergne à la Gironde, la Dordogne a connu, depuis l’Antiquité, une activité marchande, celle de la grande marine d’eau douce.
De nombreux documents et photographies, souvent inédits, retracent la vie de ce fleuve, voie de communication privilégiée entre le haut pays et Bordeaux, métropole commandant la navigation maritime On a peine à imaginer aujourd’hui le rôle économique et culturel qu’a joué dans cette vallée la batellerie jusqu’au début du XXe siècle.




 
				 
				 
				