Ainsi, le présent travail de M. José Gomez couvre un important territoire, riche en matériaux de premier ordre, mais souvent inaccessibles au protohistorien. Certes, les limites géographiques d’un tel recensement peuvent toujours être discutées et jugées fort artificielles. Et c’est un mérite insigne de M. José Gomez de chercher à tout instant de replacer la zone d’étude dans des ensembles plus vastes. Il y réussit fort bien, car grande est sa culture archéologique. Les ouvrages et articles essentiels lui sont connus et les sources étrangères sont bien utilisées. Ce qui n’est pas toujours le cas dans notre pays !
Professeur Millotte