Il faut savoir gré au Père Mazeau, curé de Chancelade, qui, après la restauration de l’abbatiale à laquelle il s’est dévoué depuis de longues années, s’est attaché à rapprocher de nous la figure, avouons-le, assez confuse dans la mémoire de notre diocèse, de son lointain prédécesseur, le Vénérable Alain de Solminihac.
Injuste oubli, certes, car en lisant les «textes colligés» de sa vie, selon l’expression modeste de l’auteur, on s’aperçoit des réelles dimensions de notre compatriote.