Universel et atemporel, le message du Bouddha n’a d’autre but que d’apporter davantage de paix et d’harmonie. Il ne s’agit pas tant de faire adhérer à une pensée que de susciter un regard curieux et bienveillant sur notre humanité. Il me semble que c’est ce que Thalie de Molènes a cherché à faire en choisissant la forme littéraire du conte.
Ces récits courts et métaphoriques s’adressent autant à un public jeune qu’aux adultes ils entraînent dans une contemplation saine sur des valeurs comme celles de l’amitié, de la générosité, de la compassion ou encore de la patience tout en invitant, petits et grands, à prendre la mesure de l’existence humaine, du moment présent, de l’impermanence ou de la mort.
Extrait de la présentation par Lama Jigmé Rinpoché
Nombreuses illustrations du XVIIIe extraites du traité d’astrologie tibétaine, The White Beryl.
L’auteur
Thalie de Molènes a écrit de nombreux ouvrages pour la jeunesse, puis aux éditions Fanlac, un roman Le Bahau, des nouvelles L’inlassable course des rivières vers la mer et une trilogie La guerre comme des anges, La guerre comme des hommes et La guerre comme des démons. Elle signe ici un ensemble de contes tirés de la tradition bouddhique qui l’attire pour sa sagesse et son universalité.